Des griffons-dragons? Comment ça c'est pas possible? [Pv Ulrryn et Shirou] [TERMINE]

Shirou était boulversée par son aventure. Elle avait rencontré des humains, et elle était prise d'un terrifiant malaise, comme si elle savait qu'elle s'eteindrait à force de rester avec cette humain. Elle crut même que son amour pour Ulrryn se fanerait, car elle étaitprête à fuir et à l'abbandonner.... Terrible créature qu'elle était,; elle se sentait mauvaise, si égoiste, si incompreneuse.... Elle n'en avait fait qu'à sa tête, ne pensant qu'à elle, et abbandonnant tout espoir. Elle vit qu'Ulrryn la suivait, et cela ne fit pas surprise aux yeux de la griffonne, mais, d'un autre coté, elle détestait les moment ou l'on doit se justifier, ou l'on doit répondre de ses actes, et elle fuyait, fuyait, telle une lâche créature, ne pensant qu'à elle-même, elle vit que les larmes lui montait aux yeux, et elle finit par s'échouer dans des glaces. Et vous savez, à cet instant, elle eut envie d'enfants. Oui, d'enfant. Elle s'imaginais trois petites têtes, avec qui elle ferait découvrir la nature, vivre des sesnsations, et puis, tous ces souvenirs, comme si l'instinc maternel prenait le dessu, elle en avait si envie... Une descendance d'elle-même, pour subsister. Elle laisserait des belles marques de son existances, des griffons-dragons, avec celui qu'elle aime le plus au monde, Ulrryn. Elle avait vécu tant d'aventures avec lui, ils les avait rapproché, puis, elle à évoluer, elle s'est transformé en une adulte puissante et vaillantes, ses sens s'étaient dévelopées, plus que n'importe quel griffon, et sa beauté était surgis de nulle part, et ainsi, elle avait plut à Ulrryn, et depuis ce jour fameux, ils s'aimaient. Mais Shirou ne supportait pas la vue des humains. Inexplicable, égoiste, certes, elle le savait. Après tout, peut-être que, plus tard, elle accepterait de la revoir.

Toujours est-il qu'elle voulait des enfants, mais Ulrryn n'allait pas vouloir. Elle avait été désagréable, avait fui une amie d'Ulrryn, elle était une vraie stupide créature. Des engeulades, des prises de têtes avec Ulrryn, ce n'est jamais arrivé, mais ce serait ridicule... En ce moment, elle s'allongea sur la glaxce, trop triste pou profiter de cette nouvelle découverte, car d'habitude, elle se serait amusé des heures durant, mais ici et maintenant, ce serait regrettable, et puis, elle n'avait pas envie de voir Ulrryn. Et même si elle désirait des grrifonneaux, elle ne serait jamais à la hauteur de le demander à Ulrryn. Tant pis, se dit-elle. Peut-être qu'un jour, il voudra lui même. Elle baissa la tête et fixa la ^glace, tristement. Elle avança dans l'immensité gelée. Elle ne vit que cela, de la glace, froide, blanche, et glissante. En avançant, elle glissa sur une branche enfoncée dans la glace et s'écrasa. Elle tomba sur le poitrail, et atténua le choc avec ses serres avant, puis la partie bas de son corps retomba lourdement. Elle était si fragile... Que ses reins subirent un terrible choc, et pour être honnête, elle se sentait paralysée. Elle se traîna avec ses serres jusqu'à un arbre, et en battant des ailes, réussit à se releva, mais retomba en vitesse,; mais voyant un point noir à l'horizon, elle se releva violement et courrut quelques kilomètres, avec ses ailes, et si rapidement, oh si rapidement qu'à son arrivée, elle retomba à nouveau. Elle était là bien attristée, et qui aurait pu la rendre joyeuse. Elle en avait vécu, des aventure, j'vous dit moua! Et pourtant, rien ne lui sembla aussi douloureux. Mais la peur de voir Ulrryn la fit se releveer, encore, et avançer, encore. Malgré les chutes, aussi violentes, elle se releva toujours plus, mais, inévitable serait l'instant ou elle ne pourrait plus progresser sur la glace. Arriva t-il au bord du lac, ou la force davançer la quitte. Elle vit des animaux traverser par le ciel, mais elle remarqua que ses ailes, à force de la relever, était inanimés, et ne lui obéissait plus, ou alors, parfois, battait faiblement, des poissons à la nage, alors, elle tenta, et nagea avec ses serres. Miraculeusement, elle s'accrocjha à l'autre rive.

Exténuée, ayant perdu son souffle, l'arrière paralysé, douloureuse, bléssée, elle tomba au sol. Mais elle était toujours conciante, et regarda avec regret le ciel. Oh, popurquoi la vie est-elle fäîte d'autant de douleur? Mais il faut les surmonter, hein? Tel est le pacte de la vie. Elle finit par se dire qu'Ulrryn la verrait, et ainsi, il sallaient s'expliquer. Mais elle nierait. Elle nierait, et ne dirait pas la vérité. Elle avait peur de la réaction d'Ulrryn, et qui sait, saurais-ce la fin?

N'avez-vous jamais eu l'impression que tout votre être n'était parfois guidé que par une idée très forte et bien précise ? Mettez-vous donc à la place d'un jeune dragon noir renégat, en train de voler sans cesse, sans aucune pause, en ligne droite, ou presque, tombant quelques fois pendant son vol hâtif, mais se redressant de suite, allant toujours tout droit, encore, et encore, et encore... Car Shirou était droit devant... Loin ? Juste à côté ? Peu importe, il voulait la revoir. Au départ, pour lui poser quelques questions. Quelques minutes plus tard, il voulait simplement être à ses côtés. La revoir, lui parler, la regarder, la toucher, sentir son odeur si rassurante... Il passa même dans un nuage très chargé en pluie et en éclairs. En y entrant, le dragon failli être ébranlé par les vents violents qui y sévissaient. Mais rien ne l'arrêterait. Ni les intempéries, ni la fatigue, ni même la mort... Virant de droite et de gauche pour éviter les éclairs qui régnaient dans cet amas de gouttes d'eau en suspension, Ulrryn continuait d'aller de l'avant. Mais toutes ces manœuvres lui fit perdre sa direction initiale, et une fois sorti du nuage d'orage, il se rendit compte qu'il n'était plus dirigé vers Shirou. Paniqué, il tourna dans le ciel, regardant en haut, en bas, au milieu. Il finit par aller vers le Nord-Ouest, d'instinct, vers le lac glacé D'Aeternam...

Quelques heures plus tard - un temps qui sembla une éternité pour le jeune dragon - l'air se fit plus frais. Le vent se révélait glacial, et la neige, surtout la glace, recouvraient la terre gelée. Il vit un point roux au loin, et s'empressa de se diriger vers lui... Mais ce point s'éloigna bien vite... Dans l'incompréhension la plus totale, Ulrryn continua malgré tout d'avancer, ignorant le froid qui s'incrustait entre ses écailles. Plus tard encore, il revit celle qu'il cherchait, mais une fois encore elle fuit. Pourquoi ? Pourquoi ? Ne voulait-elle plus de lui ? Toutes ces paroles, ces regards échangés, cela n'aurait été qu'une comédie ? Non... Jamais Shirou ne serait capable, aux yeux du dragon noir, de faire une chose aussi cruelle... Alors il continua de voler.

Après un temps encore plus long à errer au-dessus des terres glacées d'Aeternam, Ulrryn finit par retrouver la griffonne. Et cette fois, elle ne s'enfuit pas. Horriblement inquiet pour elle, il se pressa d'atterrir à ses côtés. Soulagé de la voir consciente, il se rapprocha d'elle... Et se frotta contre son plumage, peu importe qu'il soit rentré ou non.

- S'il-te-plaît... S'il-te-plaît... Ne me laisse plus seul... Ne me refais jamais ça...

Il releva la tête, montrant des yeux humides et des larmes qui coulaient sur ses écailles couleur de nuit. Quelques secondes, avant que le liquide salé ne gèle par le froid qui les entourait. Enfin, il l'avait retrouvée. Enfin, elle était de nouveau à ses côtés. Et il sourit, extrêmement heureux qu'elle aille bien...

- S'il-te-plaît... S'il-te-plaît... Ne me laisse plus seul... Ne me refais jamais ça...

Shirou pensait que le dragon et son retour ne serait que colère, mais tout était différent cette fois. C'était loin d'être de la colère, mais Shirou n'aurait pas pu savoir que c'est de la tristesse que le dragon, puîmes-nous le nommer Ulrryn dans notre contage, Ulrryn donc, était pas du tout en colère. Shirou était rassurée, mais beaucoup moins elle l'était en voyant qu'il pleurait même, et c'était si... Démoralisant à voir. C'était sur qu'elle lui avait fait mal, peut-être pas physiquement, mais bien mentalement, comme peut-être jadis sa mère lorsqu'elle l'eut bannit. Dans ses voyage, un jour, Ulrryn lui avait raconté cela. Cela la désolait fort bien, mais au fond, elle ne sentit pas la vraie peibne d'être banni, car après tout, elle, elle s'était enfuit de chez elle. Elle se sentait un peu égoiste envers ses parents, car elle avait fui, mais ils ne l'avaient jamais maltraîtés, ils ne l'avaient pas non plus obligé à le faire, mais tout cela était inutile à bien y songer, car tout cela était du passé, et le passé, quelque il soit, reste derière nous. Il faut parfois l'oublier pour avançer. Shirou ne l'avait pas tout de suite compris, mais il fallait bien se rendre à l'évidence, ce sont des choses inutiles dont il ne faut surtout pas s'encoumbrer, sinon on coule. Et Shirou finira elle-même par couler dans l'eau, si elle ne l'oublie pas. Mais passons ces tristes métaphores et revenons-en à un point précisement facécieux: Shirou et ses fugues.

Elle devenais de plus en plus fugeuse, et se reprenait même a aimer se déplacer. ... Ok, ça n'as aucun rapport... J'arrete de narrer, laissons place à ma grand-mère, une millitaire à la retraite. Mais j'veux ma paye, mua, hein! Sinon je sabot le rp. Ok, signez la. Merci. *bruit de claque et cris* Oui enfin bon, je vais commencer l'histoire de Tristepin le chevalier. Hein? Shirou? Ah oui, j'avais oublié... Passez moi le magnu... Le script. Merci.
Sur ce passage merdique, nous allons laisser place à Jonny Hall.... Comment ça lisez le script? Mais c'est quoi un script?!

Ah, brave grand-mère qu'elle est... Elle est décédée. L'enterrement est jeudi. Sur ce passage de famille, noius allons progresser dans l'histoire. Shirou se sentait coup)able de tous les maux d'Ulrryn. Elle l'avait rendu triste à un tel point qu'elle ressentait sa douleur elle-même interieurement. Alors, elle repris confiance en elle, et décida de lui demander des pitis n'enfants. C'est assez drôle, quand on y pense, commme un enfant qui demande l'ordi à sa mère qui téléphone, Shirou demande à Ulrryn si il peut faire avec elle des pitis n'enfants.

Shirou demendit alors, confiante, à Ulrryn.

-Je sais que ce n'est pas le moment, je sais que tu est triste, et le pire, c'est que c'est de ma faute, mais je crois que je ne peux plus tenir, ça ne fait peut-être pas si longtemps qu'on est en couple, et pourant j'en ait la conviction, que c'est la meilleur chose qu'il puisse nous arriver. Ulrryn... Voudrais-tu avoir des enfants avec moi?

Et au final, savez-vous ce qu'est le pire? Je ne serait pas payé. Parce que ma grand-mère à tué mon patron. AH! Mais le gouvernement VA me payer, sinon je porte plainte. Et vous?

(Désolé pour la nullité du script, c'est pas moi c'est le magnum! )

La griffonne adulte avait cru que, lorsque son compagnon avait été banni par les siens, la tristesse avait envahi son âme. Oui.... Et non. D'un côté, il s'agissait de sa famille, celle qui l'a - ou qui a plutôt ESSAYE - de l'éduquer, et d"un autre, d'êtres fourbes, cruels et méchants qui voulaient l'obliger à tuer des innocents... Ce qu'Ulrryn ne fit jamais. Et jamais il n'a eu, jamais il n'aura envie de tuer des innocents à ses yeux... Mais bon, sautons ce passage tout à fait hors-sujet qui ne fait pas du tout avancer le rp. Bah oui, faut bien lui donner des p'tites jambes à ce texte !

Donc, môssieur dragon essuya ses larmes sur les écailles de sa patte, bien entendu après avoir fermé les paupières, sinon ouch ouille ça fait mal !!! M'enfin bon, après il finit par sourire, parce que bon, il y a des bons côtés dans la vie aussi, surtout à côté de Shirou. Avec elle non loin, Ulrryn oublia le froid, sauf ses écailles qui se recouvraient d'une fine couche de givre, et la regarda.

-Je sais que ce n'est pas le moment, je sais que tu est triste, et le pire, c'est que c'est de ma faute, mais je crois que je ne peux plus tenir, ça ne fait peut-être pas si longtemps qu'on est en couple, et pourant j'en ait la conviction, que c'est la meilleur chose qu'il puisse nous arriver. Ulrryn... Voudrais-tu avoir des enfants avec moi?

Il y a deux sortes de nouvelles : les bonnes et les mauvaises. Et il y a trois sortes de bonnes nouvelles : les excellentes, celles qui nous sautent par-dessus la tête et les surprises. Il y a trois types de ces dernières : celles qui nous laissent bouche bée, celles qui nous sautent par-dessus la tête et celles qui, au plus profond de soi, on voulait qu'elles arrivent. Et bien, bravo Shirou, tu as eu une chance sur dix-huit de tomber sur cette dernière. Et oui, Ulrryn ouvrit grand les yeux, n'y croyant presque pas.

-Tu voudrais..? Qu'on ait des..? Mais... Je... Je l'avoue, je ne savais pas quand nous allions en parler ! Et bien... J'aimerais beaucoup. Je voudrais fonder une famille, avec toi.

Le dragon noir avait dit cela directement, faut dire que la franchise c'est son truc. Mais on s'en moque. Donc, monsieur réfléchit un instant avant de lâcher de nouveau une phrase super passionnante !!!!!

-Juste deux choses... Déjà, même si nous, les dragons noirs, nous atteignons rapidement l'âge de reproduction, je ne suis qu'à peine sorti de l'adolescence... Et... Tu crois que ce sera possible ? Des dragons-griffons ? Ou griffons-dragons ?

-Juste deux choses... Déjà, même si nous, les dragons noirs, nous atteignons rapidement l'âge de reproduction, je ne suis qu'à peine sorti de l'adolescence... Et... Tu crois que ce sera possible ? Des dragons-griffons ? Ou griffons-dragons ?

Spoiler:

Lorsque les bonnes nouvelles jaillisent d'un orifice tel que la bouche, une boufée de chaleur puisse se faire sentir, et elle s'engouffre dans votre coeur, ce qui vous fait même pousser un soupir de soulagement. Et bien, Shirou la noble griffonnesse la resentit cette chaleur étrange qu'on appele réconfort, et qui arrive à l'annonce de tel évènements, de tels chances. Oui, elle savait la chance incroyable qu'elle avait. Avoir un dragon comme compagnon, avec une telle noblesse de coeur, et elle, avec une telle puissance et sa robustesse également médiocre allait donner de beaux enfants, intelligent, et nobles dans leur coeur. Desormais, elle était elle, elle était unique, elle était détendu, elle était bien. Elle le sentait, au plus profond d'entre elle.

Spoiler:

Bref, vous l'aurez compris, Shirou était heureuse a un point extremement fort, et la particularité de cette relation, c'est que les dragons pouvait se reproduire avec des griffons et former des enfants extremement doués et avec la particularité d'avoir un extremme puissance. Après tout, leur amour était extremement sincère et lur particularité c'était qu'ils n'étaient pas de la même race, et pourtant, ils allaient extremmement bien ensembles. Particularité, leur couple tenait extremement bien.

Spoiler:

Oui... Ils le peuvent....

- Oui, ils le peuvent...

S'il n'y avait pas toute cette glace fort glissante sous ses pattes griffues, Ulrryn aurait sauté de joie. Mai sil tenait trop à ses p'tites papates. Il se contenta de faire un grand sourire, relevant légèrement ses oreilles de dragon, et non pas des orifices comme pour la plupart des siens, et ouvrit les yeux d'une manière éveillée et joyeuse. Et, qu'il le veuille ou non, sa queue battit joyeusement les airs.

- C'est bien vrai ? C'est réellement possible ?

Heureux comme jamais, il se frotta de nouveau contre Shirou, en ronronnant de bonheur. Et peu importe, encore une fois, si son plumage tranchant était rentré ou non. Des enfants... Dire que, quelques semaines auparavant, il n'aurait jamais eu cette idée. Ce ne fut qu'il y a trois jours, lorsque l'un et l'autre tombèrent mutuellement amoureux, qu'Ulrryn désirait fonder une famille. Oui bon, je me répète, et alors ? Qui me dit que vous lisez tout attentivement, hein ?
Mais... À quoi pouvait bien ressembler un sang-mêlé, issus d'un dragon et d'une griffonne ? Certaines morphologies assez étranges parvinrent à l'esprit du dragon, et s'il y avait un arbre, il se cognerait la tête dessus pour ne plus penser à des choses aussi stupides. Ils seront beaux. Beaux comme leur mère. Ils seront bons. Bons comme chacun de leurs parents. Ils seront forts, comme l'un et l'autre. Mais à qui ressembleront-ils le plus ? C'était cela, la question numéro une.

Car s'ils venaient à naître...

- Comment allons-nous les nommer ?

- Comment allons-nous les nommer ?

Le premier sera Syfy; Elle se rappelait d'un vieux griffon brun, qui se nommait Syfer. Dans sa jeunesse, il avait toujours été très agité et a finit par se poser avec le temps. Il avait plein d'ambitions diverses, mais jamais il n'en avait réussit aucune, car à chaque fois qu'il allait réussir, une autre chose l'attirait, et il jonglait entre rêves, missions et but. Ce n'est pas vraiment ce qu'elle souhaitait à son petit, mais elle se souviens lui avoir un jour promis que "son rejeton" comme il dit, se nommerait Syfy. Elle le lui devait bien, il lui avait toujours raconté ses milles et unes conquêtes, et puis c'était son ancien mentor, elle l'avait beaucoup aimé, mais un jour il est tombé d'une falaise, mais Shirou ne savait pas voler. Elle avait tout tenté, et avait finit par sauter et tenter de le ramener par la peau du coup, mais elle ne réussissait pas, et la pauvre griffone avait perdu ses forces, et continua malgré tout d'essayer de le remonter, et le puissant et sage Syfer l'avait remonté à la place d'essayer de se remonter, et avait périt, tombé de la falaise.

Le deuxième se nommera Ymaël. Comme son vieux père se nommé Yaël, malgré que son nom de guerrier soit Ymaël. C'était joli, sa sonnait bien. ♪Charmant, non?♫

Le troisième sera... Hum... Lou. Comme les loups qui l'avaient presque tué, si Ulrryn n'avait pas sauvé la peau de Shirou,elle serait, malgré tout, morte.

-Lou, Ymaël et ... Elle fit une pause. Syfy.

Choisir des noms n'était pas le fort du jeune dragon noir : s'il était inspiré, il aurait probablement appelé ses petits P'titbouille, Roulterre, ou encore Tomarouge... Heureusement que Shirou était là avec ses bonnes, et merveilleuses idées. S'il y a bien une chose qui les différencie, c'est leur passé. L'un a failli apprendre à vivre uniquement en solitaire, tandis que l'autre vivait dans un groupe qui s'entraidait. Enfin, c'était du moins l'impression qu'Ulrryn avait de la griffonne. La vérité pouvait être tout autre... Et pour éviter de rouvrir d'éventuelles plaies du passé, le dragon noir préféra se taire sur ce sujet, et préféra s'intéresser de plus près sur l'actuel.

- Voilà de bien jolis noms ! Ainsi donc, tu envisages que nous en ayons trois ? En tous cas, ils seront aussi beaux que toi !

Car, en effet, pour les yeux du dragon, la majeure partie du monde avait une image bien amère face à la beauté de la griffonne... Et puis, un croisement entre le plumage magnifique de Shirou et les écailles brillantes d'Ulrryn ne pourraient que faire des petits magnifiques...

Et ils les éduqueraient ensemble.

Ils leur apprendrons à chasser, parler, voler. Ils leur apprendrons les vertus qui régneront sur leur âme, ils les aimeront tout comme les petits allaient aimer leurs parents...

- Mais ce qui me fait le plus hésiter, en fait, c'est que... Serais-je un bon père ?

- Voilà de bien jolis noms ! Ainsi donc, tu envisages que nous en ayons trois ? En tous cas, ils seront aussi beaux que toi !
-Mmmh... Non, si on c'est juste que nous les griffon on ne peut pas avoir plus de trois petits à la fois.

Tiens, c'est vrai ça. Une nouvelle info, les griffons ne faisaient pas plus de trois petits à la fois, sauf si ils allaient vite en besogne, et même si Shirou ne savait pas si c'était son cas, elle l'avait envisagé un avenir avec trois petits au maximum, après tout ce serait largement suffisant, allez-ous me dire. Pour Ulrryn et les dragon noirs, elle ne savait pas vraiment si ils en faisait trois, ou s'il en faisait cinq. Elle avait d'instinc pris cette décision. Pourtant, le nombre de petits, ça ne se décidait pas; mais elle se voyait déjà, avec trois petits driffons, (nom donné aux Griffon-dragons XD), en train de leur apprendre à chasser, ou à les réprimander, voir à faire la toilette d'un petit turbulant, tandis qu'un studieux étudierais la chasse avec son père, et qu'un autre sera couché sur leur ventre, complétement assoupis. Ce serait l'avenir rêvée pour Shirou. Mais tout de suite, elle revint à la réalité, qui n'était pas comme telle dans ses rêves.

Ulrryn était un dragon noir. Elle était une griffonne. Chacun s'est déchiré de ses parents, sauf que l'un s'est fait condané à l'exil et l'autre s'était enfuie d'elle même, attirée par une source de vie étrange, un point à l'horion, inexistant, mais passionnant. Elle se rappela de toutes ces choses et se mit à frémir. Une brise glacée soufflait. Puis l'air devint très froid. Et il se mit à tomber des gouttes fines. Inutile de vous rappeler que Shirou était mal en point. Elle vit à l'horizon une mer, et elle brûlait d'envie de s'y rendre, ici n'y était que malheur.

- Mais ce qui me fait le plus hésiter, en fait, c'est que... Serais-je un bon père ?
-Oui, on verra bien, ne t'inquiète pas. Et si on allait à la mer, pour hum, tu vois ce que je veux dire?

- Oui, on verra bien, ne t'inquiète pas. Et si on allait à la mer, pour hum, tu vois ce que je veux dire?

Oui, en effet, Ulrryn voyait bien. Mais se sentait-il réellement prêt ? Avoir des driffons turbulents, agaçants, gentils, doux, intelligents, vifs... Jouer avec eux, leur faire apprendre ce qu'il faut et leur faire oublier les mauvaises choses, les soutenir, les réconforter... Mais il devait savoir une chose avant cela.

- Mais... Et pour Marie ? Je lui ai promit que je l'accompagnerait jusqu'à ce qu'elle retrouve la mémoire... Et, les promesses, je tiens à toujours les tenir...

Se rendant compte que ce qu'il venait de dire risquait d'attrister Shirou, Ulrryn détourna le regard, se retrouvant face à un dilemme : respecter sa promesse, chose qui est très importante à ses yeux, ou montrer son amour véritable envers Shirou ?

Il ne savait pas...

Il ne trouvait pas...

Il releva la tête, et ouvrit la bouche, comme pour prononcer un mot, mais il hésita, regardant par-ci par-là... Puis, enfin, il parla.

- Elle sera comme une grande soeur pour eux ?

- Mais... Et pour Marie ? Je lui ai promit que je l'accompagnerait jusqu'à ce qu'elle retrouve la mémoire... Et, les promesses, je tiens à toujours les tenir...

Ce qu'il déclara attrista profondément Shirou. Que faire, que lui dire? Elle détestait cette humaine, et elle ne lui avait rien fait, elle ne l'aimait juste pas, elle ne pouvait point supporter les humains. Mais elle devait faire un éffort. A la place d'Ulrryn, le choix était dur. Choisir de vivre une nouvelel vie avec Shirou, ou alors choisir de rester avec Marie et tenir sa prommesse. Vers qui rester loyal? Vers qui devait-il se tourner? Il ne devait pas en avoie la moindre idée. Shirou ne supportait pas de voir Ulrryn dans cet état, le choix aussi dificile, et elle ne pouvait pas lui dire la vérité, pas réveler tout ce dont elle pouvait penser. Elle ne pouvait se confier à personne. Que dire, que faire? Cette question trottait à nouveau dans son esprit.

- Elle sera comme une grande soeur pour eux ?

-Oh, Ulrryn oui. Tout ce que tu voudras.

- Oh, Ulrryn oui. Tout ce que tu voudras.

Le dragon soupira de soulagement, rassuré de savoir que Shirou approuvait cette idée. Mais si seulement il savait que la griffonne haïssait les humains... Mais Bellamarie, elle, avait quelque chose de... Spécial... Ulrryn ne savait pas quoi...

C'était son odeur. Étrange. On aurait dit... Comme des écailles mélangée à l'odeur des humains... Sur le coup, le dragon noir a été surprit, mais il s'est dit que sans doute la jeune fille avait rencontré auparavant un autre dragon...

Ulrryn regarda Shirou dans les yeux, souriant, voulant la remercier... Mais il vit une sorte de gêne et d'hésitation dans le regard de la griffonne...

- Est-ce que quelque chose te tracasse ?

- Est-ce que quelque chose te tracasse ?

Si elle voulait avoir Ulrryn, elle devait laisser cette haine de coté. Si elle voulait vivre, elle devait le faire. Elle ne devait pas détester les humains. Elle devait aimer cette umaine, et la chérir autant qu'une amie. Mais elle ne devait pas s'y obliger. Elle devait se rendre à l'évidence, touq les humains ne sont pas méchant spécialement, il y en a, certes je ne dit pas le contraire, mais pas tous. Elle allait devoir faire un effort. pas des masses, mais un tout petit. Et tout un nopuveau monde s'offrira a elle. Le monde qu'elle avait toujours révé depuis longtemps. Le monde ou elle vivrait, accompagnée d'un fidèle compagnon, jouant avec quelques petits. Trois, spécialement vu que les griffons n'en font pas plus. Mais elle était loin de se douter que ce monde qu'elle avait tant rêvé ne serait jamais. Elle ne le vivrait jamais. Mais il y a toujours eu un espoir. Il y en aura un jusqu'au bout. Elle savait que ce monde était merveilleux. Et ce n'est pas pour faute d'avoir voulut essayer d'avoir une vie meilleure. La pauvre petit Griffonne avait un bien triste sort. C'est une tragédie, mais jamais elle n'aura aimé autant un être comme Ulrryn.. Mais elle ne se doutait de rien et continua a vivre incousiante. Un grfifon et un dragon, ça peut faire des enfant; mais le corps de Shirou n'est pas adapté à acceuillir des Dragons, tous croisé qu'il soit. Et peu de chance de survie...

-Non, je suis juste... Navrée pour cette humaine. Pauvre Jeanne...

(Shirou va mourir dans ce rp, ou dans le prochain vu qu'elle va accoucher ailleurs. Voilà, je l'ai dit. Elle va mourir quand elle accouchera. N'essaie pas de me faire changer d'avis, c'est ainsi. Dans le prochain rp, je me défoncerait pour qu'il soit magnifique, q'uelle vive heureuse T-T)

Ulrryn ne savait pas pourquoi, il y avait quelque chose qui pinçait son esprit au plus profond de lui... Un pincement qui lui fit presque mal, mais qui était très désagréable. Le dragon noir ne le savais pas encore, mais il apprendrait plus tard que ce pincement signifiait un évènement extrêmement dur à supporter... Pour le moment, Ulrryn se dit simplement qu'il avait une petite crampe bien discrète, et n'en prêta aucune attention, préférant observer Shirou, la seule créature qu'il aimait véritablement.

- Non, je suis juste... Navrée pour cette humaine. Pauvre Jeanne...

Encore une fois, Shirou s'était trompé sur le nom de Bellamarie. Mais Ulrryn décida de ne pas en faire la remarque, soulagé de savoir que la griffonne était simplement peinée pour l'humaine. Il ne put qu'en sourire et se colla contre la griffonne.

[b]- Si on allait à cette plage ? Il commence à faire un peu froid ici...

En effet, Ulrryn tremblotait un petit peu, d'où l'excuse de son geste. En vérité, il voulait simplement être contre Shirou, en profiter... Suivant le conseil d'une petite voix mentale presque imperceptible, qui semblait susurrer des mots à son oreille...

Avec un dernier message qu'Ulrryn n'entendra pas...

"Elle mourra..."

- Si on allait à cette plage ? Il commence à faire un peu froid ici...

La Griffone était loin de se douter qu'elle avait entamé depuis trois ou quatres mois sa finale et ultime dernière année de vie. Elle ne supportra pas l'accouchement. Mais elle ne le savait pas encore. Elle frissona lorsqu'Ulrryn se colla contre elle. Elle n'avait plus l'impressions d'être la Shirou qu'elle avait été toujours, la Shirou qu'elle avait vu grandir, de sa naissance jusqu'à ce jour-ci, elle n'avait plus l'impression d'être la même. Comme si... C'était quelque chose qui avait pris une autre place dans son corps. Un malaise, trop petit pour la faire souffrir à crier ou pour se faire remarquer. Elle ne savait pas que c'était sa mort elle-même. Mais elle était convaincue que des petits ce serait le supreme bonheur, que ce sera le reflet de leur amour bien que contrenature, l'extreme bonheur, leur vie seraient alors gaiement vécue, elle n'était pas à la mort, vouée à sa nouvelle vie, elle regarda le soleil, comme l'avenement d'une nouvelle ère, une nouvelle créature qui allait naître. Les Driffons qu'elle allait crée. Elle les voyait rapide, fendant l'air, intelligent au point d'être rusé plus qu'un renard, plus puissant qu'un grand ours, magnifiques. Elle ne se doutait de rien. De ien de son malheur, et de la douleur.

-Oui.

Fin rp (Au prochain on se défonce au nombre de ligne, hein!)